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Coupe de France : Une date qui restera dans l’histoire des Flammes Carolo !

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COPYRIGHT : Loïc Wacziak/FFBB

Les Flammes Carolo ajoutent un nouveau trophée dans le palmarès du club © Loïc Wacziak/FFBB

 

Finale Coupe de France jouée le 26 avril 2025 :

 

Bourges Charleville-Mézières 67-70

 

Dans une ambiance festive, le coup d’envoi de la Finale de la Coupe de France 2025 était lancé dans une Accor-Arena parée pour l’affrontement entre Bourges et Charleville-Mézières. A l’image de son 4ème quart-temps réalisé en quart de finale retour face au BLMA, Leia DONGUE (14 points, 3 rebonds) était en feu sur le 1er quart-temps avec une grosse activité dans la raquette des Berruyères. Pour l’occasion, les joueuses de Romuald YERNAUX pouvaient compter sur le retour de Coline FRANCHELIN (7 points, 3 passes) qui a tenu sa place malgré avoir raté le dernier match. Le 1er quart-temps était idéalement entamé pour les Flammes Carolo qui ont profité de leur force offensive pour prendre un +8 après 10 minutes jouées (15-23). Les joueuses d’Olivier LAFARGUE parvenaient à bien servir Kariata DIABY MARTINIERE (25 points, 6 rebonds) pour revenir à 5 longueurs durant le 2ème quart-temps (24-29). Un 9-0 sanglant allait s’en suivre en faveur de Charleville-Mézières qui a fini la 1ère mi-temps en pleine bourre sur le plan offensif (27-40). A la mi-temps, les statistiques montraient que Bourges avait pris neuf tirs de plus que les Flammes, mais la réussite était clairement aux abonnées absentes sur ces 20 premières minutes avec 28 % de réussite. Trop faible pour rester au contact d’une équipe des Flammes Carolo jouant crânement sa chance dans cette Finale de Coupe de France Au retour des vestiaires, les deux snipers longue distance de Charleville-Mézières, Sara CHEVAUGEON (18 points, 4 passes) et Noémie BROCHANT (11 points, 7 rebonds) allaient donnaient 19 points d’avance au club des Ardennes (27-46). Pauline ASTIER (7 points, 3 rebonds, 4 interceptions) et Tima POUYE (12 points, 11 rebonds) ont entamé la cavalcade du Tango Bourges Basket en revenant à la barre des 13 points de déficit (33-46). Les bonnes intentions des Berruyères allaient s’accompagner par des Flammes Carolo se retrouvant dans la pénalité très tôt dans le 3ème quart-temps (4 minutes 25 restantes). D’ailleurs, la 5ème faute collective était commise par Leia DONGUE qui devait quitter ses coéquipières, car c’était sa 5ème faute personnelle. L’adresse longue distance de Charleville-Mézières permettait aux Ardennaises de garder les devants, mais la rencontre semblait prendre un nouveau virage, car Bourges revenait dans le coup en n’étant plus qu’à -7 à la fin du 3ème quart-temps (50-57). Les coéquipières d’Amy OKONKWO (14 points, 11 rebonds) confirmaient leur meilleur visage en recollant à 61 partout juste après la moitié du 4ème quart-temps joué. Nous approchions d’une fin de match préparée aux petits oignons, avec sa dose de piments, car chaque équipe ne voulait pas s’effondrer dans ces dernières minutes. Le Tango Bourges Basket reprenait l’avantage et avait un +3 en poche à 1 minute 52 de la fin du temps réglementaire (67-64). Cela n’a pas été de longue durée, car avant la dernière minute de jeu, les Flammes Carolo avaient repris la main grâce à deux nouveaux paniers (67-69). Les dernières 60 secondes de jeu ont été un bref résumé des 40 minutes qu’ont vécu les Berruyères, à savoir des occasions gâchées (22 ballons perdus) et une adresse trop inconstante (34 % au global), malgré un net avantage au niveau des rebonds (47 à 34). Au coup de sifflet final (67-70), il y avait un mélange de joie et d’émotion dans le camp de Charleville-Mézières qui avait conjuré le sort après 4 finales de Coupe de France perdues, dont 3 face au Tango Bourges Basket. Une pensée particulière pour la capitaine des Flammes Carolo, Amel BOUDERRA (2 points, 4 passes), qui va finir sa carrière à l’issue de cette saison et qui a fondu en larmes à l’issue de la rencontre.

3 commentaires

  1. Je n’ai rien à priori contre Olivier Lafargue qui a apporté beaucoup de titres au club mais le fait de l’avoir prolongé en cours de saison n’est-il pas aujourd’hui un frein au futur du club ?
    Il véhicule involontairement aujourd’hui l’image de la défaite, éliminé l’an dernier par Tarbes, rebelote cette année et même pas une coupe de France laissée à Charleville qui n’en espérait pas tant …
    Et maintenant ? La maison est par terre, tout est à reconstruire mais avec le même architecte .
    La tâche s’annonce d’ores et déjà compliquée

  2. Quand on voit ce que Gomez fait à Tarbes avec très très peu de moyens on se demande ce qu’il aurait fait à Bourges cette année : finale Euroligue , doublé coupe-championnat !
    Olivier Lafargue est usé à Bourges il aurait dû rebondir ailleurs mais Mme St Ges est trop dans l’affect et n’a pas su prendre la bonne décision.

  3. Parfaitement d’accord avec les messages précédents. On pourrait ajouter Stéphane Leité qui fait une très bonne saison avec Charnay et aussi Julie Barennes avec Basket-Landes. Pourquoi désigne-t-on l’entraineur de l’année avant la fin totale de la saison ? c’est une aberration. Si Romuald Yernaux gagne le championnat après la coupe de France, le classement du meilleur entraineur de l’année aura bonne mine et Olivier Lafargue aussi.

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