Euroligue : Mission Final 4 pour Bourges à Sopron
Cristina OUVINA et Bourges à Sopron avec la gagne comme objectif © FIBA
Match 1 des quarts de finale :
| Ekaterinbourg | Riga |
| Koursk | Polkowice |
| Sopron | Bourges |
| Prague | Fenerbahce |
Les quarts de finales d’Euroligue débutent aujourd’hui avec un air de déjà vu concernant les protagonistes. 6 des 8 équipes étaient déjà présentes la saison dernière à ce stade de la compétition. Deux nouvelles feront leur baptême du feu : Riga et Polkowice.
Polkowice doit sa qualification grâce à un quasi sans faute face aux 4 éliminés du groupe A avec un bilan de 7 succès en 8 rencontres. En revanche, les partenaires de Stella KALTSIDOU affichent un zéro pointé sur les équipes qualifiées. Pour sa première fois dans le Top 8, Polkowice a donc hérité du premier du groupe B, à savoir Koursk et ses stars comme Breanna STEWART ou Sonja PETROVIC.
Riga peut se mordre les doigts de cette défaite contre Sopron lors de la dernière journée de poule. Deuxième avant le coup d’envoi, les coéquipières de Gunta BASKO ont reculé de deux places pour finalement finir à la quatrième place que tout le monde voulait éviter. Raison de plus car en face, se dresse le champion d’Europe, Ekaterinbourg.
Les deux autres quarts de finale mettront aux prises des habitués et s’annoncent plus indécis.
A commencer par le Sopron-Bourges. Le club berruyer dispute sur 21ème quart de finale (en 24 participations !!). Il y a quelques jours, le président FOSSET a fait part de sa volonté d’organiser le Final 4. Mais, pour cela, les joueuses d’Olivier LAFARGUE doivent venir à bout de Sopron. Les partenaires d’Alexia CHARTEREAU sont dans l’obligation de prendre au moins un match sur le sol hongrois. La clé de la rencontre pourrait venir du poste de meneuse et le duel entre Cristina OUVINA et Yvonne TURNER. La meneuse hongroise est une pièce importante du jeu de Sopron par sa percussion et sa distribution du jeu.
La confrontation entre Prague et le Fenerbahce promet. L’avantage du parquet serait très certainement un atout pour les Tchèques, d’autant qu’en poule, la bande de Valériane AYAYI a été la seule à battre Ekaterinbourg. Cela dépendra également des capacités des joueuses de Valérie GARNIER d’évoluer à l’extérieur. Elles sont capables du meilleur comme tenir tête à Koursk (défaite d’un point) ou de perdre de rencontres à leur portée comme à Riga ou Charleville-Mézières.
